J'ai envie de crier, de crier et de pleurer. De pleurer de joie. Mais je ne peux pas. Entre mes mes larmes, je vais sourire. Et sa mère est là qui me regarde. Ses yeux ne m'ont pas quittée de tout le procès. J'ai seize ans et j'était accusée d'avoir tué Alex. Son fils. Mon mec.
Première phrase :
Ca y est, c'est officiel, je ne l'ai pas tué !
Dernière phrase :
***
Moi j'en dis :
Je ne me souviens plus comment ce livre a atterrie dans ma WishList.. c'est terrible, parce que finalement la liste de mes envies est bien plus concise que ma PAL. Les titres qui y sont, sont sélectionnés avec soin. Mais rien y fait, je ne sais pas. Sans doute l'avis de lecture d'une copine bloggueuse.. Justement, si vous l'avez lu et rédiger un avis de lecture dessus, je suis toute ouïe !
A plusieurs reprises, j'ai hésité à l'acheter, et puis voilà, j'avais toujours d'autres titres prioritaire. Quelle surprises de le voir en présentation dans le rayon ados de "ma médiathèque". Sans hésitations, je l'ai embarqué.
Grosse surprise de voir qu'il ne fessait que 66 pages, écrit en très (très) gros avec des interlignes gigantesques.
C'est une lecture rapide mais intense. Il faut dire que l'héroïne du roman, Célia, s'adresse à nous. Elle nous raconte le drame qu'elle est en train de vivre. Enfin plutôt l'issue du drame qu'elle a vécu. Elle nous le raconte comme si on était une bonne copine à qui elle raconte son week-end. Sans fioritures, sans détour. Elle nous raconte comment son petit copain est décédé, comment elle a été accusé de son décès, comment elle a vécus ça. Et surtout, elle nous raconte des petites bribes de leurs quotidiens, leurs joies, leurs moments de complicité.. et puis sa peine, sa colère.
Verdict : La fin m'a complètement surprise ! Je ne m'y attendais pas. En refermant le roman, j'ai eu l'impression de sortir de cette lecture avec le même poids que la culpabilité de Célia. Néanmoins, il aurait bien mérité 150 pages de plus.
N'oubliez pas, c'est mon avis : Aimez, détestez, peu importe respectez.
Au plaisir.
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